Batteuse?... Moissoneuse?

Monica Laleeuwe
8 août
2 min de lecture

Et oui... je l'ai souvent entendue, cette "tremendous" blague... sortie par qui?

Les hommes... évidemment.

Depuis 1996, depuis mes 19 ans, je me suis lancée dans l'apprentissage de la batterie, non pas de cuisine, mais celle avec ses fûts, ses peaux, ses baguettes...

Je t'ai déjà parlé de mes débuts, du pourquoi et du comment.

Les années se déroulent gentiment.

Mes premiers groupes s'enfilent le long de mes pérégrinations musicales : Working mothers, Subhuman, Farrago, Italpop, Faysal Ithran, Tifridjazz, Alexia Waku and the amazons, Wahati soul...

Je me suis essayée à autant de genres musicaux qu'il m'a été donné de rencontrer : rock, pop, jazz, soul, électro, berbère, congolais, acid-jazz, r'n'b, groove, hard-rock, métal, soft métal, blues, variétés françaises, funk, musique de bal, de barmitsva, des balkans, variétés et folklore italien... essentiellement à la batterie, mais aussi au chant, à la basse et à la guitare.

J'ai visité un certain nombre de pays également : Belgique, France, Hollande, Allemagne, Tchéquie et même Croatie.

Fait marquant : J'ai joué sur la scène du palais des Beaux-Arts, salle prestigieuse de Bruxelles en 2010.

J'étais batteuse dans le groupe " Alexia Waku et ses amazones.

Alexia, choriste des plus grands artistes français, en studio (ICP, Studio rouge...) voulait créer son groupe exclusivement féminin.

Je ne sais pas pourquoi mais cette idée m'a été proposée plusieurs fois sur mon parcours.

Cette fois-là, la sauce a pris.

C'est également grâce à Alexia que je me suis retrouvée en studio, devant un micro et casque sur la tête, prête à poser ma voix sur un titre de Julien Clerc... pour les plus curieux, cette chanson s'appelle "La vie est un tango".